Givors développement :
l'enfant terrible de la commune
Le maire s'évertue à
couvrir toutes les erreurs faites par Givors développement, d'une part par ses déclarations, ce qui en
soit n'est pas le plus grave, car il n'engage que sa conscience, mais aussi par des dépenses
considérables et c'est là que le
bât blesse, car ces dépenses, se sont les contribuables qui les assurent. Les
contribuables, mais aussi les plus défavorisés que le maire se vante pourtant
de défendre car cet argent pourrait être dépensé par la commune pour améliorer
leur quotidien. Quelques chiffres qui
claquent ou plutôt qui sonnent en argent comptant et trébuchant. « Trébuchant » : un mot qui convient bien au sujet
évoqué.
3 millions d'euros de déficit payé pour le site
de VMC. 370 000€ de cadeau de terrain rue Pierre Semard, 231000€ de paiement de
voiries pour le lotissement des Bruyères, 4 Millions d'euros de caution de prêt. Un million d'euros perdus pour le Patio, un
centre commercial qui s'écroule, des
transferts de locataires d'un site à l'autre, etc. Givors développement a vendu ses logements
sociaux à l’OPAC pour payer ses déficits. Ainsi ce sont les locataires de
l’Opac qui financent Givors Développement.
Mais quand pourra-t-on
dormir tranquille en sachant que la Société d'économie mixte de la commune présidée par monsieur le maire construit
et gère dans les règles de l'art ? Est-on
condamné à tout surveiller et encadrer pour être sûr que l'enfant terrible ne
fait pas des siennes ? Et que la
commune qui devrait le recadrer ne le console pas en lui faisant des
cadeaux ! Doit-t-on rappeler à sa « MAIRE » nourricière que l'argent
qu'elle lui distribue appartient
d'abord aux Givordins et qu'elle n'est là que pour le gérer sérieusement et
raisonnablement.
Nos pensées vont aux
sinistrés des inondations du 13 juin qui peuvent compter sur notre solidarité.
Enfin, l'été étant là,
nous souhaitons à toutes et à tous de bonnes vacances. Soyez rassurés et sûrs que nous ferons tout notre possible
pour veiller sur vos intérêts.
Vos
dévoués : Georges Fenech, Michelle
Palandre, Jean-Marc Bouffard-Roupé, Virginie Bodard