« ON NE NOUS DIT PAS TOUT ! ».... L’annonce
de la baisse des taux communaux ne correspond pas à une réelle baisse
d’impôts. Les 460 000€ que la commune ne prendra plus sur son budget pour
financer les syndicats intercommunaux (électricité, informatique, gymnase de
Bans etc.…), seront de toute façon prélevés dans la poche des Givordins et
cela directement par ces syndicats eux-mêmes. Ce que les contribuables ne
paieront plus à la commune, ils le paieront aux syndicats intercommunaux. De
plus il n’est pas sûr que le net à payer à la commune par les Givordins va
baisser puisque les bases fiscales vont être réévaluées. Il faut garder à
l’esprit que les élus de la majorité municipale présents dans tous ces syndicats intercommunaux, alors qu’ils
votent la baisse des taux au conseil municipal, votent de nouvelles taxes
dans les syndicats où ils siègent, taxes auxquelles seront soumis les
Givordins. Ils vous prennent d’une main ce qu’ils vous ont donné de l’autre. Dans le même temps, le
maire de Givors vice président et son adjoint conseiller au Grand-Lyon
devraient voter en avril une augmentation d’environ 10% de la taxe
d’habitation du Grand-Lyon (en substitution du
département). Contrairement à ce que le maire veut vous faire croire, le net
à payer sera plus élevé en 2011 qu’en 2010. « ET ON RISQUE TOUT ! »... Au centre
commercial de Bans, vous pouvez constater l’installation de nouvelles
barrières de sécurité. Il
semblerait que le manque de solidité du bâtiment Lidl s’aggrave aussi,
puisqu’il a été installé deux énormes équerres en charpente métallique pour
étayer le mur arrière du bâtiment. Où cela va-t-il s’arrêter ? Pas sur
la tête des clients, nous l’espérons. Le maire
a-t-il vraiment conscience de sa responsabilité dans cette affaire et des
risques encourus par le public ? « PENSE-T-ON A TOUT ? ».... Si
d’aventure, les travaux d’aménagement de la maison des sportifs venaient à
commencer, a-t-on prévu un accueil confortable et sécurisé pour les rugbymen
pendant les travaux ? Pas
sûr… ! Vos dévoués : Georges Fenech,
Michelle Palandre, Jean-Marc Bouffard-Roupé, Virginie Bodard Givors, le 5 février 2011 |