Courrier des lecteurs.
Problèmes
de circulation rue de la République.
Jean-Paul Michel habitant de la rue de la République avait saisi les élus du groupe le défi givordin à propos de problèmes de circulations des bus et des véhicules du service propreté à cause du stationnement abusif sur le trottoir en face de l’aménagement de voirie qui a privatisé une partie de la rue au profit du Crédit Lyonnais…
Ce stationnement abusif créait également de graves problèmes de sécurité pour les piétons.
Michelle Palandre avait écrit à deux reprises au maire ; une première fois pour le prévenir de la nature de ces problèmes, et suggérer une solution simple : implanter des potelets pour empêcher le stationnement sur le trottoir.
Elle avait obtenu une réponse de la part d’un conseiller municipal qui éludait la question en évoquant l’impossibilité d’installer des obstacles au stationnement sur le trottoir et promettant que la police verbaliserait les contrevenants.
Les riverains de la rue de la République, prévenus du courrier de l’élue d’opposition et de la réponse du maire, ont été nombreux à signer une pétition demandant la mise en place d’une solution rapidement.
Les chauffeurs des bus et des poids lourds des services du Grand Lyon ont également signé cette pétition qui a été transmise au groupe le défi givordin.
Michelle Palandre s’est enquis auprès des services de voirie du grand Lyon des possibilités techniques pour régler ce problème.
L’élue a écrit une deuxième fois au maire, accompagnant sa lettre de la pétition des riverains et des chauffeurs de bus.
Récemment nous avons appris que si le maire ne voulait pas prendre de décision pour assurer la sécurité des riverains, les TCL ont pris le problème à bras le corps et ont décidé de dévier le parcours des bus qui ne passeront plus rue de la République, mais rue Robespierre.
Jean-Paul Michel, nous a fait parvenir un courrier que nous portons à la connaissance de nos lecteurs avec son accord :
« Les riverains de la rue de la République sont déçus de ne pas
avoir obtenu de la mairie de sécuriser le trottoir, notamment au niveau du
numéro 2 de la rue.
A cet endroit, plusieurs incidents se sont produits depuis deux ans.
Je ne souhaite pas qu’un accident grave se produise, mais si c’était le
cas, la mairie devra rendre des comptes à la loi pour faire face à ses
responsabilités.
Ayant croisé plusieurs maires de mairies différentes, lorsque la
sécurité des citoyens était en jeu, ils prenaient leur responsabilité.
Salutations.
Jean-Paul Michel »
Givors, le 22 octobre 2011.